Théâtre, festival off d’Avignon : « Je m’appelle Georges », de Gilles Dyrek à 17 h 40 (et trois supplémentaires à 21 h 20) à l’Atelier Théâtre Actuel.

Folie douce et drôle.« Je m’appelle Georges » est un vaudeville virtuel. Ou une comédie romantique. Ou une BD mise en scène. Ou tout cela à la fois, et même un peu plus. Qu’on en juge par l’argument de départ : un homme découvre que toutes les résidences de sa rue, sauf une, portent le…

Socio-politique : « Demain, de nouveaux défis pour la satire politique française », par Guillaume Grignard, de l’Institut catholique de Lille (ICL).In « The Conversation » du 26 juin 2024.

Ce dimanche 23 juin a eu lieu la dernière émission Le grand dimanche soir sur France Inter. « Cette fois, c’est vraiment la dernière » commence Charline Vanhoenacker. Dernière de la saison et probablement dernière émission tout court vu à quel point sa troupe s’est disloquée suite aux polémiques entourant le licenciement de Guillaume Meurice. Cet épisode final…

Théâtre, festival d’Avignon off : « Blanc de blanc », par la Compagnie Ôbungessha au Théâtre transversal à 10 h 45 les jours pairs.

Muet d’admiration.Comment parler de « Blanc de blanc » ? Sans texte – c’est du mime – et d’une épure toute asiatique – le comédien est japonais – ce spectacle invite à une attention aussi soutenue que créative et silencieuse. Au début de chaque mime, d’une durée d’environ dix minutes, le comédien en inscrit le…

Socio-politique : « Comment vraiment reconnaître un discours extrémiste ? », par Julien Longhi, professeur en sciences du langage à l’université de Cergy, AGORA/IDHN. In « The Conversation » du 2 juillet 2024.

Julien Longhi, CY Cergy Paris Université Dans la séquence de l’entre-deux-tours et de réajustements politiques en vue du second tour, les prises de parole et les consignes de vote se font notamment sur le rapport à l’extrémisme (ou à un supposé extrémisme) et à la catégorisation des partis comme « extrémistes », comme en témoignait le discours…

Théâtre, festival d’Avignon off : « Le Géniteur », de François de Mazières à 17 h à l’ancien carmel d’Avignon – Mois Molière.

Amour et technologie.« Le Géniteur » trouve son origine dans un fait réel. Soit un couple. La question d’un premier enfant se pose. Panique du futur père, pour une raison inattendue, mais logique, les deux ayant été des enfants-éprouvette. Le couple se retrouve en crise. Mais la chose est traitée avec autant de légèreté –…