Spiritualité : Pèleriner en solitaire de Gijón à Compostelle, méditation (épisode 25).

Heureusement, la voisine – grand jardin et maison de poupée dont la pièce principale est plongée dans la pénombre – téléphone et se démène si bien qu’un quart d’heure plus tard le responsable est là. La douche est bienvenue, mais l’auberge (de 18 lits) n’étant pas chauffée (on découvrira par la suite qu’en principe, elle était fermée à cette période), les vêtements qui ont pris l’humidité sous le hangar la veille ne sèchent pas. En panne de réserves, il faut appliquer le dicton « qui dort dîne ». Le vrai lit avec draps, oreiller et deux couvertures est un luxe qui procure une nuit bien reposante.
Le 26, petit déjeuner dans un bar de La Caridad : un sandwich au jambon et un Cola-cao. Il s’agit de rallier Lourenzá, au plus court, 46 km dont 22 de plat, avant de passer de 40 mètres à 500 mètres en vingt kilomètres puis de redescendre à 150 mètres.
Un pèlerin

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