Théâtre : « Le Marchand de Venise », de Shakespeare au Théâtre du Nord-Ouest.

Shakespeare dans son jus. « Le Marchand de Venise » est une pièce rarement jouée, Shakespeare y apparaissant comme antisémite, une notion ici anachronique eu égard à la perception que l’on pouvait avoir de cette réalité à l’époque. Était-ce une raison suffisante pour jouer la pièce « dans son jus »  et surjouer le personnage de Shylock en mimant (caricaturant?)…

Livre : Introduction (6/7) au « Théâtre complet, tome I : théâtre d’encre » de Claude-Henri Rocquet.

Écoute, parole et vie. Quant à l’auteur saisi par une « hypnose créatrice », témoin privilégié d’un chant intérieur, il en est tellement peu le propriétaire que d’autres sauront le retranscrire pour tel ou tel média sans en altérer le fond. Qu’en est-il de l’auteur qui est également un de ses transcripteurs : le metteur en scène chef…

Théâtre : « La Nuit des rois », de Shakespeare, au Festival des écoles du Théâtre de l’aquarium, à Paris.

Belle surprise. Dans le cadre du festival des écoles de théâtre organisé par le Théâtre de l’aquarium se donne un spectacle étonnant et de qualité : « La Nuit des rois », de Shakespeare, jouée par les élèves du théâtre-école Kokolampoe, de Saint-Laurent du Maroni, à quatre heures de car de Cayenne, sur la rive du fleuve frontalier…

Théâtre : « Le Songe d’une nuit d’été », de William Shakespeare mis en scène par Guy Pierre Couleau aux théâtres Firmin Gémier et des Quartiers d’Ivry, à Antony et Ivry-sur-Seine.

Fantaisie onirique. « Le Songe d'une nuit d'été » est une des pièces les plus comiques de William Shakespeare. Comme souvent, il y introduit une note de fantastique, ici traité sur le mode onirique et léger. Ce qui ne l'empêche pas de prêter à ses personnages des sentiments d'une humanité parfois rudimentaire, et ceci sans considération de…

Théâtre : « Timon d’Athènes », de William Shakespeare au Théâtre de la tempête, à Paris.

Actuel. « Timon d’Athènes » est une des dernières pièces de Shakespeare. Elle est rarement montée, ce qui est regrettable. Sans doute le dramaturge voulait-il prévenir le roi Jacques Ier des amitiés intéressées qui gravitaient autour de lui. Toujours est-il que le thème de la pièce est celui de la naïveté des prodigues qui récompensent des propos…