Ce communiqué indique que :
« La Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a débarqué, ce mardi 19 septembre à 6 heures du matin, au domicile personnel d’Ariane Lavrilleux, journaliste pour Disclose.
La juge d’instruction l’a placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour compromission du secret de la défense nationale et révélation d’information pouvant conduire à identifier un agent protégé, ouverte en juillet 2022. Le ministère des Armées avait porté plainte après la série d’enquêtes « Egypt Papers », dont Ariane Lavrilleux est co-autrice. »
N’est-ce pas plutôt en portant plainte que le ministère des Armées met la puce à l’oreille d’une puissance étrangère désormais susceptible, grâce à cette information, d’identifier un de ses agents ?
La suite du communiqué ici.
Pierre FRANÇOIS