Théâtre : « Carpe diem », au Funambule, à Paris.

En quête d’auteur.« Carpe diem », c’est d’abord un auteur en mal d’inspiration pris par le temps. Telle est la seule intrigue, au demeurant insuffisamment exploitée, de la pièce. Vont défiler chez lui plusieurs trublions qu’il va plus ou moins réussir à renvoyer. Un « mesureur » missionné par la mairie joue à la limite du style clownesque. La…

Spiritualité : « 2025 : L’année des chocs ontologiques ? », par Yam, administrateur du site (01).

Pour 2025, je vous souhaite de merveilleux chocs ontologiques !Il se pourrait que 2025, 2026 et 2027 voient radicalement changer nos représentations collectives de la société, de la vie, de la réalité… Habituons-nous donc à la notion de choc ontologique, car nous devrions en traverser quelques-uns.Le choc ontologique désigne l’état psychologique et émotionnel intense qu’une…

Socio-politique : La renaissance de la forêt de Chantilly après une situation de crise, par Laurent Saint-André, chercheur à l’Inrae, Daisy Copeaux, directrice du Domaine forestier et immobilier du château de Chantilly, Hervé Le Bouler, conseiller auprès de la directrice du Domaine Forestier de Chantilly, Institut de France. In The Conversation du 20 mars 2025.

Laurent Saint-André, Inrae; Daisy Copeaux, Institut de France et Hervé Le Bouler, Institut de France La forêt de Chantilly, entre l’Oise et le Val d’Oise, est une figure emblématique de l’Île-de-France. Elle a été l’enjeu de multiples défis forestiers, au cours de son histoire, y compris récente. Au tournant des années 2000, la forêt a connu…

Théâtre : « Peut-être Nadia », d’Anne-Sophie Mercier et Pascal Reverte au théâtre de la Reine blanche, à Paris.

Secondes magiques.Telle une mélopée à plusieurs voix, ainsi nous sont narrées ces quelques secondes qui ont lancé sa légende. Légende d’une enfant autant que d’un symbole. Symbole de la perfection faite corps, d’un corps devenu aérien. « Peut-être Nadia », dit le titre. Nadia Comaneci, 14 ans en 1976, aux Jeux Olympiques de Montréal, est la toute…

Expo : Merab Buliskiria à la Maison de la vie associative du 18e, à Paris.

Tranquille fantastique.Lui se réclame du surréalisme. D’aucun classent sa peinture dans le courant symboliste. D’autres encore y voient une filiation avec Dali. Qu’importe : Merab propose un véritable univers. Onirique et apaisé, même quand il traite de thèmes dramatiques comme l’assassinat d’un poète géorgien. Son œuvre est d’ailleurs régulièrement inspirée de la culture de son pays…