Livre : « Le Chant de la merveille du monde », de Christian Ganachaud, aux éditions Pierre Guillaume de Roux (3).
Pourtant, on ne compte pas les formules fulgurantes. Il y a celles qui sonnent comme des slogans : « Enfoncer le fini dans l’infini ; puis dilater ce dernier jusqu’à l’explosion. », « Le sacré se fait par le dénuement et la faim ; le dépouillement et la soif. », « L’asile : la cour des non-miracles, des cœurs purs, humblement malades. ». Et celles…