Théâtre : « Les Darons » au Splendid, à Paris.

Cinq copains. « Les Darons », ce sont cinq comédiens – sans rapport avec le groupe de rock picard du même nom – qui se sont connus en 1994 dans le cadre du Festival international d’expression artistique libre et désordonnée. Cinq ans durant, ils vont créer des sketches, semaine après semaine, qui aboutiront au spectacle « Les Voilà »,…

Théâtre : « Fission », de Jacques et Olivier Treiner au théâtre de la reine blanche, à Paris.

Trouver n'est pas inventer. 1938 : Otto Hahn découvre la fission nucléaire et les scientifiques mesurent ce qui peut en sortir. 1939 : le gouvernement allemand lance un programme de recherche sur l'atome. Werner Heisenberg  dirige une première équipe(1) qui veut réaliser un réacteur. Kurt Diebner, puis Walther Gerlach et Erich Schumann, à la tête d'une seconde,…

Théâtre : « Garde-barrière et garde-fou », d’après l’émission « Les Pieds sur terre » (France culture) au Théâtre de L’aquarium (La Cartoucherie), à Paris.

Reportage illustré, par Florian Dagobert. Pièce contemporaine touchante sur les oubliés de la société. Le sujet traite avec justesse des états d'âmes de ces gens au travail normal pour une vie normale. La mise en scène exagère quelque peu le caractère et la diction des personnages qui sont cependant très humains et attachants. On se…

Théâtre : « Les Missions d’un mendiant », quatre pièces courtes de Daniel Keene à Plaisir (78) et Eragny-sur-Oise (95)

Réaliste, humain, onirique. « Les Missions d'un mendiant » regroupe quatre pièces courtes de Daniel Feene. L'auteur a une écriture particulière, qui oscille en permanence entre un style banal, oral, familier et des envolées poétiques du plus bel effet. Les comédiens interprètent très bien ces scènes quotidiennes marquées par le tragique, qu'il soit moral ou économique. Ce…

Théâtre : « Dialogues d’exilés » au Lucernaire, à Paris.

Incroyable Brecht « Dialogues d'exilés » au Lucernaire est un Brecht qui, incroyable !, n'est pas ennuyeux. Plus encore : il est peu dogmatique et plutôt humaniste. Sans doute est-ce en partie dû à la forme cabaret du spectacle, car on nous assure que le texte est bien celui de l'auteur. Il faut donc croire qu'il existe une façon…