Spiritualité : Pèleriner en solitaire de Gijón à Compostelle, méditation (épisode 29).

Discussion avec un quidam sur un banc public pour trouver une idée d’itinéraire. Ce sera l’habituelle N 632, devenue maintenant N 634. Bingo, quelques kilomètres plus loin, où un Lidl voisine avec un Decathlon. La priorité est donnée aux quatre patins de freins, puis à un paquet de noix pour remplacer l’épuisé, enfin, trois boîtes de conserves (pas plus, du fait du poids) et deux oranges parfumées à souhait. Un constat rassurant a lieu au moment de repartir : l’utilisation plus rare du petit plateau. Les abdominaux ne sont plus douloureux et les mollets se sont faits. Parti à 10 heures de La Caridad, l’arrivée à Lourenzá se fait à 17 heures, après quelques arrêts. Cette journée du 26 décembre aura été riche en rebondissements. Le repos de la soirée dans cette auberge municipale en pierre de taille et à la chambre bien chauffée est salutaire, car le lendemain s’annoncent trente kilomètres de côtes…
Un pèlerin

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