Théâtre : « Il faut rendre à Césaire », d’après « Le discours sur le colonialisme » d’Aimé Césaire au théâtre de l’Épée de bois, à Paris.

Poésie incarnée.Il arrive que l’on néglige un spectacle parce qu’il ne se joue que peu de temps. On a tort. On aurait, en tout cas, tort de passer à côté de « Il faut rendre à Césaire », d’après son « Discours sur le colonialisme », enrichi de citations d’autres auteurs qui furent de ses…

Musique : Présentation de saison à l’Opéra Comique, à Paris.

Présentation de saison.Soirée de fête à l’Opéra Comique : un début appétissant avec la présentation de la prochaine saison animée avec enthousiasme par son directeur très convaincant Louis Langrée et par Agnès Terrier, sa responsable de dramaturgie fort inspirée. S’ensuivit une répétition ouverte de Maestro qui nous fit découvrir les arcanes de l’interprétation musicale avec…

Théâtre : « Juste un souvenir », textes de vingt et un paroliers compilés et agencés par Myriam Boyer et Gérard Vantagiolli au théâtre Poche-Montparnasse, à Paris.

Un bijou !« Juste un souvenir » est un bijou. Quasiment seule en scène – si son partenaire prononce dix phrases et reste cinq minutes en scène, mais avec une présence…, c’est bien le maximum – la comédienne capte son public dès les premières secondes.Certes, elle a choisi son texte pour démarrer, mais la suite n’a pas grand-chose…

Théâtre, festival d’Avignon : « Je verrai le ciel ouvert, actes d’Étienne, martyr », de et mise en scène par Juliane Stern au Théâtre Tremplin, dans le off.

Histoire antique, tournure contemporaine.« Je verrai le ciel ouvert » est une initiative comme on en voit rarement : du théâtre biblique complétant des sources étiques. Entretien avec Juliane Stern, auteur et metteur en scène.Quelle est la genèse de votre pièce ?Au départ, il y a une commande du diocèse de Saint-Étienne qui voulait fêter…

Théâtre : « L’Avare », de Molière, mis en scène par Olivier Lopez, en tournée.

Étonnamment actuel.« L’Avare » est d’une actualité époustouflante, telle est la première leçon que l’on retient après avoir vu la mise en scène d’Olivier Lopez. Non seulement parce que certains costumes sont contemporains, mais aussi grâce à une scénographie minimaliste et très astucieuse dont l’accessoire presque vivant est… un rideau. La table et les fauteuils…