Théâtre, festival d’Avignon : « Je verrai le ciel ouvert, actes d’Étienne, martyr », de et mise en scène par Juliane Stern au Théâtre Tremplin, dans le off.

Histoire antique, tournure contemporaine.« Je verrai le ciel ouvert » est une initiative comme on en voit rarement : du théâtre biblique complétant des sources étiques. Entretien avec Juliane Stern, auteur et metteur en scène.Quelle est la genèse de votre pièce ?Au départ, il y a une commande du diocèse de Saint-Étienne qui voulait fêter…

Exposition : « Éléments, première partie », jusqu’au 29 octobre à la galerie d’art « le Comœdia », à Brest.

Deux démarches. Le Comœdia est un lieu mythique de la ville de Brest, orné sans doute d’une des plus belles façades de cette ville entièrement reconstruite après-guerre en béton et avec des rues à angle droit, comme aux États-Unis. Pensez-donc : une façade des années quarante, un théâtre puis un cinéma et l’assassinat de son directeur…

Livres : « Comment nos enfants nous aident à grandir, plus humains et plus créatifs, ensemble », de Sébastien Henry aux éditions de la Martinière, département éditorial « Art de vie ».

Pédagogie philosophique. « Comment nos enfants nous aident à grandir, plus humains et plus créatifs, ensemble » fait, de prime abord, un peu peur : les chapitres systématiquement divisés en une partie théorique et la proposition d’un exercice pratique font penser à cette foule d’ouvrages destinés au grand public, sans réelle profondeur ni enseignement véritable. Or, cette impression…

Festival : « Festival Imago, art et handicap », du 10 septembre au 20 décembre en Île-de-France.

« Gargantua », un titre pareil c’est déjà tout un programme. Tout comme « Imago », ce festival biennal qui se tiendra du 19 septembre au 20 décembre et dont aucun spectacle ne s’est décommandé. Sans doute parce qu’ils sont montés par des personnes handicapées et que toutes les statistiques montrent que l’absentéisme de ces dernières est bien moindre…

Expo : à l’année prochaine pour le trentenaire du « Grand salon d’art abordable » à la Bellevilloise.

Déjà fini, dommage. Le « Grand salon d’art abordable » dit ce qu’il est dans son titre même. Ce que ce dernier n’annonce pas, c’est son caractère particulièrement convivial : tous les artistes sont présents, prêts à donner des explications sur leur démarche personnelle et ouvert à la discussion. Personne, par contre, n’alpague le chaland (heureusement, car il…