Expo : Merab Buliskiria à la Maison de la vie associative du 18e, à Paris.

Tranquille fantastique.Lui se réclame du surréalisme. D’aucun classent sa peinture dans le courant symboliste. D’autres encore y voient une filiation avec Dali. Qu’importe : Merab propose un véritable univers. Onirique et apaisé, même quand il traite de thèmes dramatiques comme l’assassinat d’un poète géorgien. Son œuvre est d’ailleurs régulièrement inspirée de la culture de son pays…

Actu : communiqués (deux) de la Finul le 25 octobre.

Texte original :25 Oct 2024UNIFIL statement (25 October 2024)On 22 October, peacekeepers on duty at a permanent observation post near Dhayra were observing IDF soldiers conducting house clearing operations nearby. Upon realizing they were being observed, the IDF soldiers fired at the post. The duty guards withdrew to avoid being shot.The IDF has repeatedly demanded…

Socio-politique : « La psychiatrie, une invention de l’Antiquité », par Pierre-Henri Ortiz, de l’université d’Angers. In « The Conversation » du 3 avril 2024.

Pierre-Henri Ortiz, Université d’Angers De la crise durable du secteur psychiatrique aux faits divers criminels qui, régulièrement, mettent en cause des individus privés de volonté, la maladie mentale fait débat. La question des meilleures manières dont la société peut y faire face, dans sa complexité et sa diversité, est assurément obscurcie par des préjugés romantiques…

Théâtre : « Nora, Nora, Nora ! De l’influence des épouses sur les chefs-d’œuvre », d’Elsa Granat au Théâtre de la tempête, à Paris.

Légitime impatience.« Nora, Nora, Nora ! De l’influence des épouses sur les chefs-d’œuvre, d’après Une maison de poupée d’Henrik Ibsen », d’Elsa Granat, est une pièce qui marque. Et réjouit. Apparemment, cela part dans tous les sens avec un rôle, celui de Nora, qui est interprété par une multitude de comédiennes. Pourtant, il n’en est…

Livres : « Thomas Sauvin », avec un texte de François Durif, aux éditions de La Martinière, collection « Percevoir ».

Réception et complétion. « Thomas Sauvin », dans la collection Percevoir chez La Martinière, gagne à être consulté en commençant par la fin. Le texte de François Durif, à travers l’exposé des émotions qui l’ont traversé lorsqu’il travaillait à proximité de la mort, place des pointillés pour guider le lecteur-spectateur dans le déchiffrage des photos constituant le…

Théâtre : « Parfois, j’aimerais avoir une famille comme celle de la petite maison dans la prairie », d’après le roman « Un peu de respect, j’suis ta mère » à La Scierie, dans le festival off d’Avignon.

Bonne nouvelle : « Parfois, j’aimerais avoir une famille comme celle de la petite maison dans la prairie » vient à Avignon. On se souvient de ce spectacle qui, après avoir été joué dans le Pays basque, n’était passé, hélas, que furtivement à Paris. Le thème, tiré du livre « Un peu de respect, j’suis ta mère »…

Théâtre : Théâtre : « Parfois, j’aimerais avoir une famille comme celle de la petite maison dans la prairie », d’après le roman « Un peu de respect, j’suis ta mère » en tournée au Pays basque.

« Parfois, j’aimerais avoir une famille comme celle de la petite maison dans la prairie » : le titre du spectacle en résume à la fois le propos – une famille dans laquelle chaque minute apporte son lot de nouveauté et d’incertitude – et son ambiance : une forme de triste allégresse, d’optimisme forcené au milieu des situations les…