Théâtre : « Je m’appelle Bashir Lazhar », d’Evelyne de La Chenelière au Lucernaire, à Paris.

Paradisiaque.Il est rare qu’il n’y ait rien à jeter dans une pièce. C’est néanmoins le cas de « Je m’appelle Bashir Lazhar ». On croit au personnage dès la première seconde, que l’on identifie immédiatement comme enseignant débutant. Son bureau bien face aux gradins, le public plonge immédiatement dans l’univers de ses souvenirs enfantin. Les…