Théâtre : « La Nomad House », initiative itinérante, termine son parcours à Paris.

Itinérance physique, itinérance artistique.« La Nomad House » n’est pas un spectacle. C’est une itinérance artistique autour du thème de… l’itinérance. Elle parcourt l’Europe, de Bruxelles à Paris en passant par Potsdam, Thessalonique et Partinico, avec un crochet maghrébin à Sousse. Au programme de chaque étape, une conférence, un village associatif mettant en valeur les…

Théâtre : Fille de Joies, de Marie-Amélie Tek au Théâtre de Nesle, à Paris.

Reines du jour et de la nuit.Belle surprise que ce conte musical délicieux, rempli de légèreté, de profondeur, de joie , de mélancolie, de réalisme et de poésie qui procure un réel bonheur aux spectateurs enthousiastes, venus nombreux, qui entonnent doucement certaines rengaines, indissociables du répertoire populaire français indémodable… Magnifiquement interprété par un couple charismatique…

Théâtre : « La Banquise », de et mis en scène par Marie Frémont au Théâtre de Belleville, à Paris.

Éclairante.« La Banquise » est une pièce qui traite d’un sujet lourd sans pathos, en posant les éléments progressivement, les uns après les autres. Les personnages sont disparates et néanmoins complémentaires. Par exemple, la présence du double détruit de la victime qui ne se comprend pas est éclairant malgré le peu de texte qu’il délivre.…

Théâtre : « L’Histoire de la fille d’une mère qui devient la mère d’une fille qui ne sera pas mère », de et avec Emilie Alfieri au Théâtre des déchargeurs, à Paris.

Sidérant.Pas une réplique que nous n’ayons entendue ou prononcée. Pas une attitude que nous n’ayons vue ou vécue. Ajoutez à cela un talent de comédienne à la hauteur du texte pour avoir une petite idée de ce qu’est « L’Histoire de la fille d’une mère qui devient la mère d’une fille qui ne sera pas…

Livres : « La Fille qui aimait les nuages », suivi de « L’Impératrice rouge » et « Le Royaume de Nina » aux éditions Gope.

L’Asie et Paris. « La fille qui aimait les nuages » est une suite de trois « micro-romans », comme l’indique la couverture, et c’est bien cela. De romans d’espionnage. Ils se lisent facilement et vite. L’auteur fait avancer le lecteur au rythme de son écriture sans fioritures inutiles. Aucun adjectif n’est de trop, aucune introspection n’est de mise…