Théâtre : « Camus-Casares, une géographie amoureuse », de Teresa Ovidio et Jean-Marie Galey d’après la correspondance des intéressés à l’Essaïon, à Paris.

Paradoxes vivants.« Camus-Casares, une géographie amoureuse » donne à voir comment un couple de géants pouvait être aussi ordinaire qu’extraordinaire. Tous deux menaient des vies hors normes tout en ayant la mentalité de leur époque dans leurs relations réciproques. On croit immédiatement, dès le jeu muet de la première scène, à l’humanité de ces deux personnages, au-delà…

Spiritualité : Veillée pour la paix au Forum 104, à Paris.

Précieuse paix.À l’appel de la CINPA (Coordination INterreligieuse du grand PAris), du Forum 104 (espace de rencontre culturel et spirituel), de l’Amitié judéo-musulmane de France, d’Efesia (Ensemble avec Marie), des Religions pour la paix, d’Agir pour la fraternité (groupe interreligieux de Paris 15°), de l’AJCF (Amitié Judéo-Chrétienne de France), des Focolari, de Coexister, de la…

Théâtre : « Mère Térésa, ombre et lumière », de Joëlle Fossier au Lucernaire, à Paris.

Étrange. « Mère Térésa, ombre et lumière » est un spectacle qui interroge. C’est impeccablement joué. Normal : Catherine Salviat, de la Comédie française, n’est pas la première venue. Mais on n’arrive pas à croire au personnage. Y en a-t-il d’ailleurs un ? Le texte est écrit comme un récit, mais conjugué à la première personne là où le…

Théâtre : « Mère Térésa, ombre et lumière », de Joëlle Fossier au Lucernaire, à Paris.

Étrange. « Mère Térésa, ombre et lumière » est un spectacle qui interroge. C’est impeccablement joué. Normal : Catherine Salviat, de la Comédie française, n’est pas la première venue. Mais on ‘arrive pas à croire au personnage. Y en a-t-il d’ailleurs un ? Le texte est écrit comme un récit, mais conjugué à la première personne là où le…