Socio-politique, débat : Les femmes sont-elles plus attachées aux animaux que les hommes ? Par Laurent Bègue-Shankland, professeur de psychologie sociale, membre de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA) à l’université Grenoble Alpes (UGA) et Shelly Masi, primatologue, maitre de conférence du Muséum national d’histoire naturelle au Musée de l’Homme, vice-président de la Société francophone de primatologie (SFDP) au Muséum national d’histoire naturelle. In The Conversation du 10 mai 2022.

Laurent Bègue-Shankland, Université Grenoble Alpes (UGA) et Shelly Masi, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) Le Parti animaliste, cette nouvelle formation politique menée par l’avocate Hélène Thouy, serait en quête d’hommes pour les prochaines élections législatives. Il avait déjà été pénalisé lors d’un précédent scrutin pour manquement à la parité. Cela crée un petit effet de…

Théâtre : « Juste un souvenir », textes de vingt et un paroliers compilés et agencés par Myriam Boyer et Gérard Vantagiolli au théâtre Poche-Montparnasse, à Paris.

Un bijou !« Juste un souvenir » est un bijou. Quasiment seule en scène – si son partenaire prononce dix phrases et reste cinq minutes en scène, mais avec une présence…, c’est bien le maximum – la comédienne capte son public dès les premières secondes.Certes, elle a choisi son texte pour démarrer, mais la suite n’a pas grand-chose…

Théâtre, festival d’Avignon off : « Euphrate » de et avec Nil Bosca. Du 7 au 26 juillet au Théâtre du Train Bleu, dans le off.

Reflet d’une tristesse et d’un courage. Si la quête d’identité n’était pas un sujet universel et troublant, il n’existerait pas d’aussi belles représentations théâtrales. Celle-ci reste unique. En mêlant danse, théâtre et chant, Nil Bosca interprète avec talent l’histoire d’Euphrate, jeune femme soumise aux questions existentielles de l’adolescence. Les personnages sont touchants, voire drôles, car…

Théâtre : « Never, never, never », de Dorothée Zumstein à Gare au théâtre, à Vitry-sur-Seine

Fantastique sentimental. « Never, never, never », malgré son titre, n’est pas l’œuvre d’un auteur anglais ou américain. Dorothée Zumstein est traductrice, ce qui explique une langue proche de la structure anglo-saxonne, selon les connaisseurs. Elle est partie d’une base réelle – Ted Hughes, « poet laureat » en 1984, dont les deux femmes successives se sont suicidées –…