Théâtre : « Opus cœur », d’Israël Horowitz au Théâtre du petit Hébertot, à Paris.
Fausse banalité Le seul tort d'« Opus cœur », d'Israël Horowitz, est d'annoncer sa conclusion dès la scène d'exposition. Du coup, si on savoure la manière, on ne peut jouir d'aucun suspens, ce qui est sans doute à l'origine du sentiment de longueur qu'on a vers la fin de la pièce. Cette seule réserve mise à part,…