Théâtre : « Pardonne-moi de me trahir », de Nelson Rodrigues, trad. Thomas Quillardet, au théâtre Les Déchargeurs, à Paris.

Transmission et perversité. « Pardonne-moi de me trahir » est une pièce sur l’obsession, la transmission et la perversité. Autrement dit, une tragédie moderne mettant en scène des personnages prisonniers de leurs désirs inconscients, en souffrance et voulant vainement s’en libérer. Son langage, loin de l’élégance de l’alexandrin, s’enracine dans les détresses quotidiennes dont l’auteur…

Théâtre : « Liza et moi, histoires de mères et de filles », de Sandrine Delsaux mis en scène par Sophie Thebault au Théâtre de la reine blanche, à Paris.

Féminin tragi-comique. Que les hommes se rassurent : si « Liza et moi » (à bien distinguer de « Lisa et moi » qui a eu le succès que l’on sait d’août 2018 à janvier 2019 à l’Essaïon) est bien une histoire de relations et de transmission entre mères et filles, elle est accessible à tous. Dès le résultat de…

Théâtre : «Moi aussi je suis Barbara».

Chez les critiques dramatiques, une collègue versifie pendant les spectacles : Béatrice Chaland. Elle a la bonté de nous fournir régulièrement les poèmes publiés sur son site : https://bclerideaurouge.wordpress.com. Paraissent ici les spectacles qu’elle a notés au moins 3 / 5, surtout pendant les festivals d’Avignon, histoire de nous faire oublier que nous en sommes privés cet…

Musique : « Chanson plus bifluorée… passe à table » au Théâtre La Bruyère à Paris et sur un nouveau cd.

Ils reviennent, par Clara. Deux ans après « Cuvée spéciale », les trois copains reviennent présenter un nouvel opus dont le fil conducteur est la gastronomie. Bien entendu, il s'agit d'un prétexte pour s'amuser en parodiant les chansons et airs bien connus. « À table » est donc très réussi et maîtrisé : on rit du début à…

Théâtre : « Fabrice Luchini et moi », de et avec Olivier Sauton au Théâtre La Bruyère à Paris.

Précision importante. L'article qui suit, sur « Fabrice Luchini et moi », était déjà publié au moment de la révélation de l’antisémitisme violent du comédien (cf. par exemple : http://www.sceneweb.fr/bref-olivier-sauton-luchini-planches-antisemite-twitter/).  Il serait donc hypocrite de l’effacer a posteriori. Par contre, la confrontation d’un tel talent et d’idées aussi primaires chez une même personne pose une fois de plus…