Socio-politique : la sécurité, cache-sexe pour l’intolérance ?

Sacrée ou maudite sécurité ?La sécurité semble être parfois la couverture de l’intolérance.Veut-on faire fermer un théâtre ? On fera intervenir la commission de sécurité qui y trouvera presque toujours un motif pour y parvenir. De temps en temps, il suffit d’en parler. Quand J.-L. Jeener a dû quitter la crypte sainte Agnès, sous l’église Saint-Eustache —…

Socio-politique, histoire : Quelle place pour l’animal de compagnie au XVIIᵉ siècle ? Par Camille Delattre, doctorante en littérature à l’université de Lorraine. In The Conversation du 20 septembre 2021.

Camille Delattre, Université de Lorraine Diane, Pompée, Blonde, Florissant. Pyrame, Thisbé, Félimare, Gavroche, Mimi-Paillon, Serpolet… Ces noms, mythiques pour certains, historiques ou surprenants pour d’autres, ont un point commun : ce sont ceux d’animaux de haut rang, les chiens de chasse de Louis XIV pour les premiers et les chats du cardinal de Richelieu pour les…

Théâtre : « Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu », de Philippe Dorin, en tournée.

« Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu », c’est certes une pièce pour le jeune public. Mais c’est d’abord une ambiance. Légère, poétique, mystérieuse, rassurante. Rassurante, cela tombe bien dans la mesure où, l’air de ne pas y toucher, les comédiens présentent aux enfants l’énigme du grand saut dans l’inconnu que nous…

Théâtre : «Madame Guillotin».

Chez les critiques dramatiques, une collègue versifie pendant les spectacles : Béatrice Chaland. Elle a la bonté de nous fournir régulièrement les poèmes publiés sur son site : https://bclerideaurouge.wordpress.com. Paraissent ici les spectacles qu’elle a notés au moins 3 / 5, surtout pendant les festivals d’Avignon, histoire de nous faire oublier que nous en sommes privés cet…

Théâtre : « Madame Bovary », au Théâtre de Poche-Montparnasse

Un bonheur d'adaptation, par Difouaine. S'il ne devait rester qu'un seul livre dans le panthéon français de la littérature, pour moi, ce serait ce chef d’œuvre de Flaubert ! Mais c'est toujours pareil : il suffit de dire « chef d’œuvre » pour que toute traduction ou adaptation soit ressentie comme une traîtrise, par nature. Car comment incarner…