Livre : « Le Chant de la merveille du monde », de Christian Ganachaud, aux éditions Pierre Guillaume de Roux (5).
Cette dernière expression manifeste une des dimensions majeures de son livre : méditer sur l’existence immatérielle depuis un espace qui se situe à mi-chemin entre la folie et la mystique. Inutile de chercher dans son roman une chronologie ou un espace connus. Il y dialogue librement avec son lecteur, d’esprit à esprit, de tension vers l’infini…