Livre : « Le Chant de la merveille du monde », de Christian Ganachaud, aux éditions Pierre Guillaume de Roux (7).

Du point de vue du style, il utilise le régulièrement le « cut up », introduction sans transition (mais, de toute façon, son écriture ne s’y prête pas) dans son texte d’écrits d’autres auteurs, jusqu’à une recette de cuisine. C’est pour lui une façon d’être anarchiste, de néantiser le néant. Sa prose poétique trouve toujours sa source…

Livre : « Le Chant de la merveille du monde », de Christian Ganachaud, aux éditions Pierre Guillaume de Roux (5).

Cette dernière expression manifeste une des dimensions majeures de son livre : méditer sur l’existence immatérielle depuis un espace qui se situe à mi-chemin entre la folie et la mystique. Inutile de chercher dans son roman une chronologie ou un espace connus. Il y dialogue librement avec son lecteur, d’esprit à esprit, de tension vers l’infini…